In Italia, des lycées et des étudiants ont été passé à tabac et arrêtés par des policiers antiémeute, d'autres se sont enchaînés devant l'université La Sapienza, à Rome, à Rome, une obimè obime et. Dopo tre mesi, la rivolta mondiale nelle università, nei collettivi pro palestinesi e in un partito del corpo enseignant reclama l'interruzione dei progetti di ricerca tra l'Italia e l'Israëstérèstéréslet.
En février dernier, une musclée de policiers contre des jeunes lycées qui manifestient contre les rappes israelines dans la bande de Gaza, a poussé le President de la République, Sergio Mattarella. Dopo questo ricorso all'ordine insolito, il governo è intervenuto per sostenere le forze dell'ordine, tanto che l'opposizione, da parte sua, ha condannato le violenze politiche mais aussi l'assautrin, àassautrin, martedì, par un gruppo di manifestanti contro un commissariato.
«Bloccare le relazioni sarà un'assurdità
Il dibattito si accende anche intorno alle lezioni degli studenti. Alcuni evocano la fine della democrazia, denunciano le occupazioni violente e rifiutano l'idea di boicottare la cooperazione scientifica internazionale. C'est le cas, par example, de l'université La Sapienza qui a explição, dans un comunicato, qu'on ne peut pas nuncer à la liberté de la didactique et de la recherche, tout en exprimant sa douleur face à la criise L'umanità in Palestina. Pur le filosofo Massimo Cacciari, «l faut être pro palestinien et pro Israel, être contre le Leadership palestinien et le gouvernement israelian mais blocker les relationship et les progettis de recherche bilatésteraux»
“Giocatore estremo. Appassionato di twitter. Analista. Pioniere degli zombi. Pensatore. Esperto di caffè. Creatore. Studente.”