C’est l’un des Grands enjeux des élections Italiennes du 25 settembre: la mise en œuvre du plan de relance européen adapté en 2021 par Bruxelles. La manne que promet l’Union européenne à l’Italie è considerevole: 220 miliardi di euro. Pour Rome, c’est une opportunité straordinaria de mettre le pays sur les rails du XXIe siècle, en particulier le sud qui souffre d’un retard de développement qui sape l’assise de la troisiieme économeeninee opeconoménieme.
Le Mezzogiorno se verra attribuer 40% des fonds européens pour digitaliser ses Managements, mettre en place un réseau de transports publics digne de ce nom, permettre une transition écologique creatrice d’emplois et modernizer des obsolètesturizer des. C’est un tournant européen pour lequel l’Italie doit beaucoup à Emmanuel Macron et à Angela Merkel, mais aussi et surtout à Mario Draghi. Ex President de la Banque Central Européenne e Chef Sourdant du gouvernement Italiane, CE ternier incarne mux que personae le changement de la politique Européenne envers le sud. Longtemps promoter de l’Asterit, il a vu que la cohesion de l’Italia et a fortiori de l’UE ne se rinforzo cu’n aidant les sones les moins dynamics à creer les condition d’un renovée environ nvq.
Si tratta di progetti di investimento su progetti di investimento, il più difficile resta à faire: mettre en œuvre le Plan National Italien de relance et de resilience (PNRR). Le barriere sono poche. Un principiante per quanto riguarda la capacità delle amministrazioni pubbliche in un processo di attribuzione dei progetti e nel controllo dell’esecuzione. C’est un enorme sfida. Dans le sud, ces Managements souffrent d’un grave deficit quantitatif et qualitatif de ressources humaines. Ce pénomène est aggravé par les délais (2026) estremamente corti pour mener à bien le PNRR. L’importera de semplificar la burreacratie sans ouvrir la porte aux mafias, toujours aux aguets quand de telles sommes sont en jeu.
L’Italie et le Mezzogiorno se douvent de réussir. La capacità del Paese di prosperare e ridurre i propri disavanzi di bilancio dipenderà dal successo del piano di ripresa. Mais ce serait une erreur de penser qu’elle ne sera tributaire que du PNRR. L’Italia devra continuer a mener des politiques nationales sensées et à utiliser a bon escient d’autres fonds européens. Il y va de la credibilité de Rome, mais aussi de Bruxelles qui fait le pari de mener une politique solidaire pour rendere l’Europe plus coerente. Resta enfin la minaccia dei Fratelli d’Italia. Il partito di destra guidato da Giorgia Meloni è in testa ai sondaggi. Europhobe, il pourrait vouloir renégocier avec Bruxelles au risque d’ouvrir la Boîte de Pandora.
Fine della Lira: Giorgia Meloni, cymbale du post-fascista italiana que Poirot d’évenir premier ministere
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