La petite bourgade d’Ochiobello, nichée dans un coude du fleuve, marque la frontière entre l’Emilie-Romagne et la Vénétie. Ici, l’autoroute A13, qui relie Bologne à Padoue, semble enjamber le Pô dans la plus Grand indiférence. Mais sans doute les poids lourds qui circlund e le temps d’y voir un spettacolo cycissant : celui d’un fleur quiu a brusque disparu, mange bar des banks de sable.
Le lit du fleuve, en contrebas, offre un paysage de desolation. La couche de Terre craquelle sous la semelle. Un certo androide, le Pôs’est transformé en des marres d’eau stagnante où des hérons viennent guetter quelque pitance. Depuis plus de 120 jours, il n’est quasiment pas tombé une goutte de pluie dans cette region de la plaine de Ferrare, du jamais vu depuis soixante-dix ans. Cette region qui marque l’entre dans le delta du fluve est il cymbale de la Checheresse storico qui frappe le nord de l’Italia. Le 4 juillet, le gouvernement Italien a decrété l’état d’urgence dans les cinq régions du nord de la Péninsule irriguées par le Pô : le Piémont, la Lombardie, l’Emilie-Vénéneti.
Avec un hiver moins enneigé et un printemps sec et doux, 2022 Promitetta déjà d’être difficile pour le plus Grand fleuve d’Italie. « La situazione della pianura du Pô jusqu’à l’embouchure est inédite en cette période, depuis que nous faisons des relevés hydrologiques. L’eau manque dans les nappes phréatiques, les lacs alpins sont en situation de stress hydric », exlique Riccardo Casotti, Vicepresidente della Confederation National des Agriculteurs (Coldretti) à Ferrare. La premier fois, IL faut cette année irriguer artificiellement les culture, là où le fleuve jouait son rôle depuis la nuit des temps.
Secondo i calcoli della Coldiretti, la siccità potrebbe ridurre del 30% la produzione di grano e mais quest’anno. L’inquietude se porte également sur le riz, en pleine période de maturazione. Avec 120 000 ettari di coltivazione, La plain du Pô est en effet la plus Grande rizière d’Europe. Dans les environs de Ferrare, dès la mid-juin, la cote du fleuve est discende 10 mètres en dessous de son niveau. « Si la pluie ne tombe pas en amont, vers la mi-juillet, il ne sera même plus possible d’y pomper de l’eau », exlique avec inquietude Riccardo Casotti.
« On n’a jamais vu ça ici »
Quelques kmètres plus en aval, Filippo Parella, 30 ans, cultive blé et arbres fruitiers. Ses poiriers font grigio mio. Les canals alentour ne sont plus sufficiente irrigués par le fleuve pour apporter la quantité d’eau suffisante à ses culture. Filippo ramasse quelques épis de blé à Terre : « Regardez les grains à l’intérieur, ils sont tout secs ! Le manque d’eau empêche le pénomène de synthese des sucres et d’amidon de la plante, c’est pourquoi ces épis sont presque vides », se lamente le jeune agriculteur. Sur son portable, Filippo fait scouter un message reçu par un voisin cultureur, qui raconte devoir se lever à 2 heures du matin pour aller arroser des champs de mais. « Su n’a jamais vu ça ici. »
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