Decrittazione – Il Parlamento italiano s’apprête à voter un texte qui durcit les peines contre les rassemblements non autorisés, cree de nouveaux delits et rinforza la protezione dei policiers.
Roma
À son arrivée au pouvoir, Giorgia Meloni avait Promis de ne pas toucher à la liberté de manifester. Il figlio ministro della Giustizia, Carlo Nordio, s’était pour sa part à réduire le nombre de delits réprimés par Le code pénal. Deux ans plus tard, il Parlamento s’apprête à voter una nuova legge sulla «sicurezza». Celle-ci prévoit de controller plus strictement les espressioni. Quatorze de ses articoli aumenta il numero dei delitti o allarga i delits esistenti, tanto che treize autres durcissent sensibilmente les peines incourues.
« Questo projet de loi conferma la tendenza di questo governo a risolvere i problemi con la repressione penale, mentre la creazione di nuovi reati non ha mai avuto un effetto preventivo. », exlique le professeur de droit constitutionnel et de droit public comparé Salvatore Curreri. De l’interdiction des rave party à cette loi « sécurité » en passant par le décret Cutro (qui punit les passeurs demigrants de 20…
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