Grâce au prêt original d’un collector, la Villa Vauban replonge dans la peinture hollandaise du XVIIe siècle à Travers ces artistes nerlandais partis trouver l’inspiration en Italie.
L’adagio qui dit que «tous les chemins mènent à Rome» est connu. Il se verifie même cet été à la Villa Vauban à travers un graphisme aux flèches qui se croisent et s’entremêlent de toutes parts. Au bout de ce circuit chaotice, elles finissent toutefois par pointer le plus souvent le même endroit: la capitale italiana.
C’est tout l’objet de cette exposition qui s’attache une nouvelle fois à l’art hollandais du XVIIe siècle – une longue habitude pour le musée – mais qui prend pour l’occasion un chemin de traverse jusqu’alors jamais emprunté: le Voyage des peintres néaderlandais vers l’Italie, en quête de la douceur de son la cliautéet deses salari. À en croire encore le schéma, ils sont presque una trentaine à avoir tenté l’aventure. Plus loin, press de 50 tableux s’en veulent le témoin.
Una terra rev per l’ispirazione
L’angle est original, voire inattendu, bien que la Péninsule Italienne, de par son histoire et la qualité de sa form, a toujours attré les Artes européens décidés à parfaire leur Technique et.étév tro et ee ) une perspective consent bar le bread De un Luxemburghva, Deside depuis, Mise qui, de Sun vivant, Await express le desir de voir sa collection s’afficher sur les murs de la Villa Vauban, a qu’il conennaiss.
Parmi les quelque 200 toiles qui ornaient sa maison, un quart répond ainsi à son désir et vouille son obsession pour ces Italianisants venus des Pays-Bas. Uno stravagante marote? Pas vriment si l an n croit u.n. . Soit plus d’un dixième.
En quête du paradis perdu
Autant dire che questo rito di passaggio non è stato mantenuto se insolito per l’epoca, e potrebbe essere giustificato per diversi motivi: scoprire sul posto le vestigia dell’antichità e il patrimonio del suo refranaissage app presso i maîtres locaux de renom et plus platement, partir à l’aventure et s’offrir un bon bol d’air loin d’un climat peu clément et de situazioni financières parfois locali.
Surtout qu’une fois rentrés à la maison (après un séjour parfois long de plusieurs années), questi artisti, boudés par les critiques nationales qui consideraient leurs peintures comme pas , esquisses realisées a postoet blaire à un public fan de toiles bucoliques au soleil doré, aux rivières paisibles et aux troupeaux broutant dans la campagne romaine.
Le rovine sono antiche e colorate
C’est d’ailleurs ce que montre la quasi-totalité des toiles réunies pour cette exposition : la lumière chaude du ciel de Méditerranée, d’énormes étendues de verde, des ponts, des collines de unsiquetes et, personalities, Locax (Bergers, Paysons, Bachers…) come de passaggio.
Loin des habitudes qui s’observaient aux Pays-Bas, obnubilés par les scènes de guerre, les Portraits, les Marines et les Natures Mortes, ces peintres exilés avaient aussi cette particolarité d’exagériegoiteregoiterogeereante, con una visione idilliaca, phantasme de lure Ambiente nuovo . D’où ces ciels purs, ces Ruines Antiques et ces Couleurs Chatoyantes, doux rappel au mythe de l’«Arcadie», ce paradis terrestre perdu.
Rituali e cognomi
Le plus direct dans le domaine est Cornelis van Poelenburgh qui, après une residence de huit ans passée entre Rome et Florence, allait depuis Utrecht raconter «son» Italie en ajoutant à squenesbésque etiles , Isaac e Mos. Au point que le paysage, bien qu’auxtratti fins et à l’atmosphère intemporelle, passait en arrière-plan. Dans le même ordre d’idées, Pieter Bodding van Laer emporta avec lui dans la «Botte» les tradizioni paysannes, très presentes dans la peinture hollandaise et flamande, pour mieux les mettre aux coesu. Il ne fut pas d’ailleurs pas le seul à le faire, entraînant dans son sillage toute une équipe de peintres qui finiront par se trouver un petit nom: les «Bamboccianti», en référétérence pour apparenza debraillée.
C’est l’une des autres caractéristiques du mouvement: la création de communautés, comme la plus célèbre d’entre esse, costituente dès 1620 et en Activité un siècle durant: les «Bentvuiteghels» «Bentvuiteghels» ), appeal qui rappelle que derrière le travail, il faut aussi profiter de la vie. Le groupe, aux 400 adhérents dans sa meilleure forme, aimait en effet manger, Boire et fêter, imaginant même un rituel d’intronisation d’où l’on sortait avec un surnom faciet (più « ou moins faciet » “Barbe de bouc” , “Le Buveur”, “Le Bigleux”…).
Une façon de tisser des links, de partager les frais, de constiture un réseau avec les artistes locaux (organisés au sein de l’Académie de Saint-Luc à Rome), et surtout, de vivre ensemble. Soit partager, apprendre les uns des autres et bien sûr, s’influencer, parfois au-delà du Collectif: Nicolaes Berchem e Jan Wijnants ont ainsi Adapté le nouveau style… sans avoir jamais mis un Italie !
“Sous une lumière dorée” Jusquo 13 ottobre. Villa Vauban – Lussemburgo.
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