Comme à chaque fin de Conseil européen, chacun voit le verre à moitie plein. On retiendra toutefois que les Vingt-Sept n’ont pas réussi vendredi à se mettre d’accord sur deux des ideas non avait accouché le sommet de Versailles sotto la presidenza francese: de la mutualiasation faire baisser les prix et d’illustrer la solidarité des Européens affronta il ricatto energetico di Vladimir Putine. Et la prospettiva di disaccoppiatore in un’atmosfera europea les prix du gaz et de l’electricité pour éviter que la flambée de l’un n’entraîne l’explosion de l’autre.
Rien ne dit que l’UE ne parviendra pas à relever ce défi d’ici à fin 2022. Mais la façon dont l’Allemagne, l’Italie et la France affrontent cette crise, chacune de leur côté, une ne done ne donte de L’Europa. D’abord aux pays de l’UE frontaliers de la Russie qui craignent de voir Moscou profiter de cette désunion. Mais aussi aux opinioni publiques des trois premiers economies de l’union que voint leurs trigiants en ésèque d’audes et de cabromise.
Che cosa è l’Italia di Giorgia Meloni?
« On a vu ça au debut de la pandamiie, c’était chacun pour soi, que ce soit sur les masques puis sur les vaccinis, rappelle Jean-Dominique Giuliani, Presidente della Fondation Robert-Shumann. Mais au bout de deux mois, tout le Monde s’est rendu compte que personne ne pouvati y returner tout seul. Aujourd’hui, même avec un bouclier tarifaire de 200 miliardi di euro, il cancelliere Scholz n’aura pas les mo…
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