“Napoli Campione d’Italia!” Dans les bouillonnants quartiers espagnols, près de la fresque Maradona, comme devant le stade portant le nom de l’idole argentine, le rêve du scudetto Grandit à Naples, entre “superstition” et sur désir désir”
Encore Une Victoire, Dimanche Contre La Roma (2-1). Et encore trois pas de plus vers un premier titre de champion d’Italie depuis plus de trois decades et les deux premiers offert en 1987 et 1990 par Diego Maradona, dont le nom, le Nhovisinette0. Zona Napoli.
“A 13 points d’avance sur le deuxième (l’Inter, NDLR). Custode, an ne bute le pertre que bar notre propre faut, tout est entre nos mains”, ha confermato all’AFP Mirko Brandini, 18 anni, venu de Toscane avec deux amis suivre cette victoire si “importante” arrachée ai giallorossi.
Tous trois, écharpes du Napoli au cou, ont traîné longtemps autour du stade rebaptisé fin 2020 du nom de Maradona, juste après la mort de l’idole, pour assaporare l’euphorie baignant la ville. La fièvre a encore monté d’un cran depuis la spettacolare vittoria contro la Juventus (5-1), le 13 janvier, match clé aux yeux de nombreux tifosi.
Mais n’allez pas leur dire que l’écusson vert-blanc-rouge de champion est déjà cousu sur la Tunique du Napoli.
– “Un toute autre histoire” –
“Il ne faut jamais dire ça, on est superstitieux à Naples”, Prévient Esther, venue de la côte Amalfitaine toute proche, croisée dans les quartiers espagnols devant la fresque peinte en “Dhgonne0 de l’199”
“Ça ne se dit pas, c’est match après match”, conferma, non loin, Luca Improta, un trentenaire salarié dans une entreprise de jouets.
Mais lui-même a du mal à ne pas se projeter: “J’ai connu la victoire de l’Italie au Mondial (en 2006), à l’Euro (en 2021), là c’est une toute autre histoire! Frequentando Debussy C Longtemps…”
“Ce serait aussi une revanche sur le nord, d’un point de vue footballistique mais aussi social, culturel”, ajoute-t-il
“Pour nous, gagner est difficile, pour des raisons économiques, sociales, politiques, culturelles”, renchérit un autre Napolitain, Pasquale Esposito. Cet enseignant retraité, 68 anni, a lui connu les heures glorieuses de l’époque Maradona et le “moment magique” du premier scudetto.
“Je travaillais à Milan. J’étais allé à Turin, à San Siro, suivre des Matches et j’avais eu le plaisir de voir jouer maradona. Mais le plus beau, c’est quand je suis revenu à barriè une barriè. de péage de l’autoroute, il était écrit +Bienvenue dans la ville du scudetto+ Pour moi, qui revenais, ça a été une émotion unique”, décrit-il.
Giuseppe Bruscolotti era lì in campo, al fianco di Maradona, quando il Napoli vinse il titolo di campione del mondo.
“Le jeu était différence, les joueurs étaiten différences, aucun parallèle n’est possible avec l’équipe actuelle. Ce qui compte, c’est que chacun fasse sa propre histoire…”, sottolinea l’ex-défenseur de 71 ans , joint au téléphone par l’AFP.
“On fight party de l’histoire, mise ux aussie, avec leurs buts, ils sont en train d’y entrée. Il ne reste que le titre boy y entrée definitivement”, ajoute-de-il a sujet de l’Entrère Luciano Spalletti, ha valutato que “Napoli serra campione: l’histoire dit qu’un club ayant fait autant de points lors de lapha aller a toujours gagné”.
Daniel Bellini, lo speaker ufficiale di stat Maradona, è Louis Aussie sur un nuage dans un stat “shout” a due partite in meno.
“Dans les années 80, j’avais cinq, six uns quant Maradona a gagné le premier scudetto, et huit ou neuf quand il a gagné le second… On vit un rêve, et on esperre ne pas se avréveiller!” , lancia-t-il.
En cas de titre, le réveil sera explosif, à Grands renforts de pétards, une spécialité Locale, promettent Felice De Simone et Francesco Bovenzi, due étudiants àgês de 18 ans interrogétal’décharpeetau Si on gagne, ça va durer au moins un an.. . Il va y avoir un sacré bazar ici!”
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