“Kamme o vade avi?”, Peccato “Commento, aujourd’hui?” C’est avec ces mots que Cinzia Cocco, institutrice dans le village de Faeto depuis vingt-cinq ans, salue ses élèves tous les matins. En franco-provenzale. Une langue qu’elle est now la seule à utiliser dans l’école Don Maurilio De Rosa.
Cinzia Cocco a fait sa scolarité ici, dans cet établissement de Faeto, petit village d’à peine plus de 600 AMes, qui est le deuxième plus haut perché des Pouilles. Nous nous trouvons dans une des deux colonie allophones de la provincia de Foggia. L’autre étant Celle di San Vito, situato à moins de 2 kmètres de distance.
Dans ces deux villages, an parle le franco-provencel, une langue qu’on aurait plutôt tendance à associer au Piémont ou au Val d’Aoste, frontaliers de la France, et non à ce petit bout d’Italie1 000 kilometres de l’ Esagono. Ed Boydant, En Verde de la Loy 482 d 1999, “Destino” E “Celle de San Vit” Sont deux “Multilinguismo” Dont il convient de préseret et de protecter le patrimoine: ILS form en effet l’enclave franco-provenzale de l’Italie méridionale.
IC, On parle sete longue depuis la fin du XIIIe siècle, c’est-à-dire depuis l’arrivée de Carlo IR d’Anjou, roi de Provence, al quale il papa avait offert de gouverner le sud de l’Italie. Les Sarrazins chassés, les soldats provençaux furent autorisés à rester sur place et à faire venir leurs familles. Mais, huit siècles plus tard, comment le franco-provenzale resiste-t-il au temps qui passe?
A Celle di San Vito, l’agence de promotion des langues regionales est très actif. Depuis que l’Unesco a classé le franco-provencel langue menacé de disparition en 2010, six femmes du village, le plus petit des Pouilles (il ne compte que 149habiants), œuvrent à la valorizzation
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