In Albania, i centri di trattenimento per i migranti sono costruiti dall’Italia e non sono unanimi

L’Italia costruisce in Albania dei centri di ritenzione per accogliere i migranti salvati in mare ed esamina la loro domanda d’asilo.

Georgia Meloni è uno dei simboli della politica contro l’immigrazione. Depuis quelques mois, l’Italie costruisce campi di ritenzione dei migranti nell’altra costa adriatica, in Albania. Opérés par les autorités Italiennes elles-mêmes, ces centres potrouillet accueillier chaque année 36 000 persone, secourues en mer, le temps que leurs demandes d’asile soient etudies. Un progetto sostenuto dal Premier ministre albanese mais che non fait pas l’unanimité sur place.

Il rumore dei trattori risuona continuando nel modesto villaggio di Gjadër, situato a 80 km a nord di Tirana. Il centro di ritenzione per migranti che Giorgia Meloni fait construire à côté de chez eux inquiète leshabitants. “Persanne ne nous a demande notre avis four ses campesexlique Armando, 31 ans. L’État decide tout seul, et il se fiche de l’avis du peuple. Mais nous, qu’est-ce qu’on a à gagner avec ces camps? Et l’Italie n’a pas de terrenos chez elle? Elle n’ a flin!”

Vingt kilometri più au sud, sur la mer Adriatique, des prefabriqués gris protégés par des grilles métalliques ont été instállat dans le port de Shëngjin. I ristoratori di questa città balneare sono ampiamente contrari al progetto, ma personalmente non criticano la scelta del potente Premier ministre albanese. Eddy Rama a mise en avant une “dette” de sun pas: il ya 30 ans, l’Italie aveit acquilli des centaines de milliers de refugies Albanois, comme pesnic sulage, 63 ans.

Aujourd’hui, il tient un hotel près du port: “Quand je vois les réfugiés aujourd’hui, je pense à ma vie et quand je suis arrivé en Italie en 1993. Des années difficiles, je ne savais pas la langue, rien. Esrien n’ava Itlians m’ant aide, je ni Pas de ses Refugees: nous les albanois en ne fait pas de divisions, et an aquille dus les immig.

Numerosi problemi tecnici e giuridici riguardano il progetto della cheffe du gouvernement Italien, e son coût pourrait dépasser les 650 milioni di euro. Da parte albanese, l’attivista Arlinda Lleshi ha organizzato manifestazioni per denunciare la perdita di sovranità del suo Paese: “Ambassador ches persons ches nous, c’est de la pure campaign elettorale. Mais pourquoi devrions-nous concordano che l’Albania soit toujours un vassal des pays étrangers et faire le jeu d’une poliqueer responsable? est un accord qui n’a pas de sens et dont nous n’avons aucun intérêt à tirer.”

Secondo molti esperti, cette délocalisation en Albanie des centres detention Italiens ne aware pas le droit européen. Più di una quinzaine di Stati membri hanno già proposto di moltiplicare questo tipo di accordo.