Le plan de relance Italien ne doit pas seulement raviver l’économie, mais aussi la natalité d’un pays plongé en plein «Hiver démographique». C’est en tout cas l’intention du gouvernement, alors que la Péninsule subit une chute constante de sa natalité depuis une dizaine d’années. Mais aussi bien dans la mise en oeuvre du PNRR (Piano Nazionale di Ripresa e Resilienza) que dans cette «work nataliste», de sérieux retards s’accumulent. «Il ya quelques Objectivees à revoir», admis devant le Sénat le ministre aux Affaires européennes, Raffaele Fitto, che sovrintende al progetto. Burmese yux, la construction de creches et d’coles maternales.
Un dossier qui simbolise, selon Il quotidiano “La Stampa”, Les hardships de l’Italie a repondre aux njoux éssentielles povero son avenir. Le retard conjoncturel du PNRR s’ajoute à celui, structure, de la Péninsule en la matière. Avant la pandemie, elle etat déjà bien loin de l’objectif fix par l’ue: la moiety des enfonds devraint pouvoir etre pris en charge in une creche public. Oppure suggella il 13% des bombins Italians y ont une place, obligeant de nombreuse mares a opportune leur travail o a avoir recurs a un couteux service privé.
Un plan trop ambiux
Remedier à cette situation qui agreve les inégalités sociales et de gender, l’Italie promitetta ainsi d’investir, dans le cadre de son plan de relance, 4,6 miliardi di euro pour construire en criteèf laanceet 2.190 e 2.000 comuni. De quoi ouvrir 264.000 nuovi luoghi. L’obiettivo devait être atteint à la fin du mois de juin 2023, mais il est bien trop ambieux, reconnoitre le gouvernement di Giorgia Meloni, qui devra le corrigeur.
A lui vengono offerte due opzioni: respingere il ritardo della sua realizzazione o ridurlo ampiamente. Les maires privilegient évidentement la première, pour ne pas renouncer à un investissement qu’ils jugent «important». Ils ne distemper malheurement pas des compétences techniques procede aux appels d’offres et lancer les chantiers, déplore «La Stampa». Le gouvernement devra donc prendre le relais.
Mais il beau ériger la relance de la natalité en cas national, CET alarmisme ne se traduit pas en investments concrets. Nel 2020, selon l’Observatoire des comptes publics, l’Italie dépensait 0,08 % de son PIB pour les crèches. Elle est loin de ses voisins : d’après l’OCDE, l’Allemagne débourse le double, la France 8 fois plus et les débourse de la Suède sont, elles, 13 fois supérieures.
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